« On travaille pour »... La formule est courante. Entendre les aléas derrière ? Moins. Et « qualité de vie » ? À entretenir et à retenir : le « entre » de la proposition des pouvoirs publics.
Récit 10
« Tous les métiers qui touchent à la mort ont l’air suspect (...). Il [le gardien de cimetière instruisant Violette, narratrice] a mis de la musique, des sonates de Chopin. Et il m’a parlé des vivants et des morts. Des habitués. Des veuves. Le plus dur, ce seraient les inhumations d’enfants. Mais personne n’était obligé à rien. Il y avait une vraie solidarité entre le personnel du cimetières et les pompes funèbres. On pouvait se faire remplacer. Un fossoyeur pouvait remplacer un porteur qui pouvait remplacer un marbrier qui pouvait remplacer l’officier des pompes funèbres qui pouvait remplacer le gardien quand l’un d’eux se sentait incapable d’affronter un deuil difficile. Le seul qu’on ne pouvait pas remplacer, c’était le curé. (...) J’allais tout voir et tout entendre. La violence et la haine, le soulagement et la misère, le ressentiment et le remords, le chagrin et la joie, les regrets. Toute la société, toutes les origines et toutes les religions sur quelques hectares de terre. » Valérie PERRIN (2017). Changer l’eau des fleurs1.
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Ce que je propose d’emblée de retenir de ces extraits, même s’ils renvoient éventuellement à une autre culture organisationnelle des cimetières, voire à leur poids différent dans la vie des collectivités ?
D’abord, et de partout sur la planète bleue, que le statut social suppose au minimum l’incongruité des métiers du soin des morts et des cimetières. Ces métiers, en effet, ne concernent pas seulement ceux que nous remarquons quand nous nous y rendons, mais également les opérations qui y président en amont. Or, nous en connaissons peu la teneur. Néanmoins, lorsque nous sommes nous-mêmes affligés par la perte d’un être cher, nous percevons les effets des services qui nous y sont offerts2.
Ensuite, que nous concevions une solidarité entre les gens de tous ces métiers, formels ou plus effacés, selon les contextes et l’attribution des responsabilités.
Enfin et de toutes façons, que se déploie la palette colorée des affects rencontrés lors de l’interaction du personnel funéraire avec les « clients » et, par conséquent, le caractère essentiel du tact et de l’empathie requis devant tant de formes de précarisation.
Un constat synthétique se forge : que l’on considère les cimetières comme une époque x dans l’histoire de l’humanité ou comme un passage obligé, ce qui en émane nous soigne. Et nous avons en retour à les soigner. Il s’agit d’une préoccupation à la fois politique et humaine qui fait de nous des êtres d’émotions, de savoirs et d’éthos ou de valeurs nourries (et parfois dénutries!) en société. Ainsi, « quand la civilisation n’est pas soin, elle n’est rien. Les humanités doivent prendre racine et promouvoir une vie sociale et politique fondée sur l’attention créatrice de chacun à chacun3. »
Comment en être les gardiens?
Au premier regard : l’incongruité
IMAGINONS : vous arrivez dans un cocktail, à titre de conjoint.e d’employé.e de comptoir de quartier, ou en affaires publiques, ou bien en éducation, finances, arts de la scène, ou ce qui vous va. L’organisme qui accueille ce soir-là n’est de toutes manières pas celui avec lequel vous « gagnez votre pain » et autres substances. Il se trouve que vous travaillez dans le « domaine de la mort ». Vous le taisez si on ne vous le demande pas. La discrétion est pour vous un mode d’emploi intégré et pas forcément désagréable.
Et si l’on s’en enquiert, vous avez développé — non sans humour — une parade à cet état de fait vous concernant, une fois que vous en avez informé cette personne interlocutrice. Alors ?
- Silence, celle-ci boit une gorgée ET :
1) Fait un pas de recul puis vous revient comme un matamore en vous demandant quel est précisément votre travail, et tout de go :
1.a : si vous êtes déprimé.e ;
1.b : si vous aimez le plein air, le vent, la pluie... ;
1.c : « Qu’est-ce qui fait que, euh, dans votre jeunesse, vous avez été attiré.e par…? » ;
1.d : autres.
2) Bafouille un prétexte pour aller saluer un autre invité
3) S’anime et vous décrit la mort d’un être cher en vous tirant par la manche vers un coin de la pièce.
4) Quoi d’autre ? Toutes ces réponses, avant COVID, mais toujours actuelles, puisqu’elles procèdent de réflexes bien ancrés.
Pour autant, ce n’est pas sur la base de ces évènements microsociaux que l’on évaluera l’ampleur du fameux tabou de la mort. (Y reviendrai.) Car nous sommes en ces moments de sociabilité dans le frimas délicieux du divertissement. La mort a beau avoir sa place, il nous faut quand même la « laisser respirer ». Les laisser. Nous laisser...
Bien. D’évidence, les gens de métiers AUTOUR DE «LA» ne sont pas «LA». Il n’empêche : persiste, non pas tant la défiance, voire la méfiance, qu’un point interrogatif appuyé. Mais non systématique. Par exemple, il se peut que, lors d’une de ces rencontres, on vous fasse ce velours : « Eh oui, que de travail méconnu, pour en arriver à ce que tout soit à point, le jour si marquant où nous avons mis en terre [la dépouille de] notre mère. »
Velours qui peut s’avérer tonique lors d’un moment de vacillement pour quiconque s’emploie à un effort de contre-culture, celle-là où domine l’apparence et le va-vite.
La collusion imparable entre les gens du métier et la symbolique de la mort
L’humour à petites doses répond à cette forme d’aura attribuable à la fréquentation du phénomène si prismatique de la mort. Par association avec son mystère, toujours actuel, même en ces temps de soi-disant « transparence », les travailleurs qui s’en approchent sont quasi obligatoirement interpellés. Ils peuvent aussi s’en défendre en banalisant leur intérêt personnel. Il leur arrive aussi de romantiser leur engagement. Ou d’esquiver en souriant.
Par ailleurs, plusieurs argumenteurs contemporains capitalisent sur le marché funéraire en y déversant les trucs marketing éprouvés dans les « autres industries », clamant que « la mort s’aligne sur la vie » : ils insistent sur la qualité du deuil, qui ne peut que passer par leurs mains expertes. Ces néo-religieux du grand passage existentiel tablent sur la fragilité des endeuillés — mais nous ne sommes pas tous forcément fragilisés. Ils appuient également sur le manque de repères sociologiques qui confèreraient un sens à l’absurdité ou à la tragédie. Ce faisant, ils s’adonnent volontiers à la boulimie des nouveautés, au risque du mépris de ce qui n’est pas du même registre que le leur. Ici, en ne craignant pas d’abuser d’une situation de pouvoir peu commune.
La fin de la fin
Les pratiques funéraires révèlent autant l’intimité des affects que les esprits collectifs bigarrés qui les colorent. Et singulièrement lors de ce moment d’aboutissement de la séparation définitive avec les restes d’un être aimé. L’ensevelissement, en terre ou en édicule solide, n’est-il pas l’ultime étape de la détermination humaine qui se signe avec vigueur dans la ritualité? Foncièrement, il s’agit de riposter au désordre existentiel introduit par la mort en affirmant un ordre humain (et hors humain) qui imagine et structure les rapports entre les vivants et les morts. D’où l’importance d’une tenue qui n’exclut pas la douceur : s’acquitter d’une responsabilité s’avère moins affligeant lorsque celle-ci est partagée et concertée.
Des métiers d’équilibristes
Témoins privilégiés des fluctuations des coutumes, et à des degrés variables, selon les rôles qui leur sont dévolus, les gens des métiers du funéraire agissent dans des champs de forces de maintes provenances qu’ils doivent équilibrer. Distinguons-en trois.
① Équilibrer le caractère institutionnel ET affectif à l’endroit des endeuillés
Un être meurt. Il n’est pas seulement en liens avec nous. Or, c’est souvent au moment de la mort ou d’une maladie grave que nous prenons conscience que l’autre n’est pas qu’avec nous, voire qu’à nous. Qu’à côté de la réalité vive du chagrin de l’absence cohabitent d’autres univers, incluant ceux de la vie en société, qui n’annulent pourtant pas cette première réalité. Et cela nous heurte parfois davantage. D’où l’exigence de délicatesse des médiateurs de ces outre-liens.
En effet, la mort, incluant la disposition des restes humains, renvoie à une logique supra-individuelle, qui est celle de l’organisation politique, littéralement, du vivre en société. Les institutions y pourvoient, et à ce titre, le cimetière condense le résultat des politiques ayant trait à l’état civil comme à la salubrité publique. Sa présence est inscrite dans des lois, des règlements et des modalités qui orientent la mise en terre et ses géocalibrages. De cette façon, inhumer les restes d’un être cher relève d’une enchaînement de gestes qui ne sont pas seulement liés aux subjectivités. On se souviendra (Récits 1-3) du désir de regroupement comme inscription le plus souvent fiable dans l’histoire humaine.
En fonction des conventions ethnoculturelles, temporelles et religieuses, comme des aménagements esthétiques du « jardin des allongés » (comme l’argot français l’appelait plaisamment il n’y a pas si longtemps), les citoyens mandants du soin de leurs morts par les cimetières rencontrent du même coup la réalité des normes. Elles ne sont pas forcément autoritaires ! Toutefois, même rassurantes, elles peuvent être reçues comme démesurément contraignantes pour des émules libertariens, par exemple concernant la décoration des monuments et l’entretien des stèles et allées.
Là comme au cours de l’existence, nul n’est une île. Néanmoins, cet engagement à s’investir dans la « qualité de vie » générée pour un cimetière rebute plusieurs de nos concitoyens, qui préfèrent, comme on sait, la mort légère.
② Équilibrer le caractère contractuel ET le caractère accompagnateur en même temps que la fonction technique ET la fonction relationnelle
Il y a obligatoirement offre et demande de services, ce qui implique l’information mutuelle concernant les souhaits de la première personne concernée sur son ultime repos, si possible, mais éminemment ceux de ses proches. Et ce, dans le sentier parfois touffu des nœuds familiaux. Par ailleurs, on ne peut s’assujettir à la fantaisie des uns et des autres, justement parce qu’une institution offre des balises prédéfinies, souples, mais non extensibles à l’infini. Elles incluent la rétribution de tout travail.
S’insère alors dans la zone financière tout ce rapport entre économie profane (dépenser pour avoir plus) et économie sacrée (dépenser pour être mieux). Ce rapport génère une tension où chacun, même bien averti et conseillé, sur place puis dans les suites de ses choix, rencontre le brouillard des inconscients. Ces derniers sont chargés de culpabilité et de souhaits d’amendement. Un tel rapport ne gomme pas la sensation d’une intuition sereine, aux tréfonds : donner n’est pas que répondre à un sentiment de dette contractée, même si celle-ci, assumée, résonne comme élément essentiel au processus de deuil. Donner représente une sorte d’aventureuse « lancée dans l’univers » que nous pouvons emprunter, goguenards, à cette maxime populaire, si bien que l’on peut faire preuve de générosité à l’égard du défunt sans raison précise. Tout en prenant garde à nos élans.
Et c’est sur ce paysage que s’exerce la compétence afin d’arrimer la séquence des gestes et de bien entendre les vœux et les hésitations : « Elle [la compétence] passe tout d’abord par la production d’une sémiotique (...) dédiée à une forme de sacralisation à distance du régime marchand : décor ambiant, expressions corporelles et langagières, constituent autant de marqueurs d’obligations de civilité et d’hommage indiquant que l’on approche de « la région du sacré » [Bateson et Bateson, 1989)]. Le face à face entre la famille et le conseiller est traversé de bout en bout par l’enjeu de (re)construction d’une frontière entre expert et profane, propre à asseoir une confiance dans la relation de délégation et dans la légitimité d’un échange marchand4. »
À cet égard, on ne peut séparer, d’un côté la fonction technique — cette série de gestes sur des objets, des matériaux, gestes arrimés à une procédure — et, de l’autre, la fonction relationnelle, si déterminante.
③ Équilibrer l’expression émotive : en discerner les formes pour les affligés ET trouver la bonne distance pour soi
Prendre soin des morts au moment de leur « départ » ainsi que lors de leur séjour en lieu dédié est un invariant culturel, même si les modalités peuvent grandement varier. Le repos en paix des morts contribue éminemment à la paix des vivants5. Prendre à bras-le-corps cet enjeu, on le rappelle, représente une sorte de pacte symbolique entre société des vivants et celle des ex-vivants.
« Pour réaliser au mieux cette fonction anthropologique, les opérateurs funéraires disposent d’un ensemble de «ficelles de métier» pour chacune de leurs tâches, même les plus anodines. (...) Les ficelles fluidifient les opérations et leurs enchaînements. Cependant, ces opérations sont rendues délicates par le regard des familles ainsi que par l’«objet» particulier avec lequel travaillent les opérateurs, les corps morts, qui nécessitent parfois quelques efforts de mise à distance affective. Le corps des opérateurs n’est alors pas seulement un corps exécutant, mais aussi un corps éprouvant, avec lequel il faut composer6. »
Conséquemment, quel métier relié aux cimetières, et plus généralement, au domaine funéraire, peut se soustraire à cette confrontation, le plus souvent réglée dans la planification, la technique ou une forme de cérémonial? Et néanmoins sujette à impromptu, tout fossoyeur ou horticultrice pouvant en témoigner?
Aucun. Le registre de base est complexe, entre le professionnalisme et la sensibilité aux émotions des proches. Dans les faits, ces deux dimensions s’entrecroisent puisque la présence corporelle (le «non-verbal», incluant la voix) est en bonne partie inconsciente et relève de tracés autobiographiques profonds. Puisqu’aussi, la présence cognitive puise à même la capacité et la disponibilité à comprendre ce qui suscite des émotions variables, en soi, et dans leur expression chez les êtres éprouvés.
Il faut alors louvoyer entre ces lieux communs concernant le trop ou le pas assez : un trop compatissant, assimilé à de l’hypocrisie ou, plus problématiquement, à une identification projective de sa situation (« c’est comme moi, j’ai vécu ça aussi. »), voire à une forme d’intrusion. Un pas assez compatissant ou engoncé dans sa dignité, synonyme de conduite « inhumaine » ou offensante. Ou encore, tellement « authentique » en regard de ses propres sentiments, que la retenue semble impensable. Et ce, même si, à l’occasion, chaque tenant du métier le dira, la maîtrise de ses propres « résonnances » intérieures défaille et requiert une pause. Et quelques pas du côté du savoir.
Bref, la dynamique du travail face aux émotions est constamment à refaire, au fil d’une distanciation ; cependant, elle ne se module pas au vu de la seule intensité des subjectivités.
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Pourquoi? C’est que le vécu de la perte de même que l’expression des conduites de deuil sont tributaires des constructions culturelles. Or, ces dernières ne sont pas visibles qu’au plan des différences ethnoculturelles. Elles bougent également en fonction des valeurs groupales concernant la profondeur de nos liens et la communication à leur propos. Si, de tout temps, il faut manifester nos émotions, il faut également les endiguer. Ce qui varie, c’est le sentiment d’obligation et la recevabilité d’une forme d’effervescence au sein de la solennité. Ce qui varie également, le précédent récit le décrivait, c’est la présence relative de lieux de déposition des affects. Il reste que nous savons tous d’expérience combien ce qui se reconstitue autour d’une fosse est unique, et après-coup, revivifiant.
Aussi, la consolation des uns et des autres devant la qualité du réceptacle émotif qu’est aussi un cimetière contribue autant à en consolider l’institution qu’à raffermir l’ensemble de nos interactions. Et c’est bien en cela que les métiers du funéraire jouent en partition la transmission de la culture, dans l’équilibre entre convention et singularisation, entre cérémonial et improvisation. Entre les œuvres monumentales et l’œuvre modeste.
Une culture rayonne au quotidien, autant pour les vivants en deuil — qui y revalident leur qualité de mortels — que pour leurs accompagnateurs, ces gens de métiers aussi parfois silencieux. Parfois chantonneurs. Prendre soin des êtres, c’est combiner bien des formes de présence, dont ces métiers pour lesquels ledit soin est la condition d’existence du lieu civilisateur de nos forces et de nos vulnérabilités à assumer.
L’aménagement sous les auspices gouvernementales n’en est qu’une figure, n’est-ce pas? Avec le vent qui se charge aussi des travaux du temps.
LUCE DES AULNIERS
Professeure-chercheure
Notes
- PERRIN, Valérie (2017). Changer l’eau des fleurs (roman), Paris, Albin Michel Poche, p. 103, 512, 667 p.
- À titre d’exemples : les métiers en amont : conseiller en planification ; les métiers évidents : fossoyeur, horticulteur, responsable du gazon, responsable des services aux familles ; les métiers au suivi du « cours des choses » : direction, téléphoniste, préposé.e accueil, secrétaire, comptable, commis, préposé.e crémation, opérateur-machiniste, responsable service clientèle, etc.
- Cynthia FLEURY (2021). « Repenser le soin ». Souligné de LDA.
https://www.franceculture.fr/emissions/tracts-le-podcast/cynthia-fleury. 14.10.2021 - TROMPETTE, Pascale (2009). « Les conseillers funéraires : du tact civil aux tactiques commerciales », in DEMAZIÈRE, Didier, et al., Sociologie des groupes professionnels, Paris, La Découverte, Recherches, pp. 299-309, p. 308. Soulignés de LDA. Accès au site Cairn par les banques de données des bibliothèques.
- Voir : THOMAS, Louis-Vincent (1985). Rites de mort. Pour la paix des vivants, Paris, Fayard, 296 p.
- BERNARD, Julien (2014). « La mobilisation du corps dans le travail des pompes funèbres. Technique, relation et travail émotionnel », L’Esprit du temps_ Champ psy, 1 n° 65, pp. 163- 174, p, 167, 170. https://www.cairn.info/revue-champ-psy-2014-1-page-163.htm.
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PERRIN, Valérie (2017). Changer l’eau des fleurs (roman), Paris, Albin Michel Poche, p. 103, 512, 667 p.
À titre d’exemples : les métiers en amont : conseiller en planification ; les métiers évidents : fossoyeur, horticulteur, responsable du gazon, responsable des services aux familles ; les métiers au suivi du « cours des choses » : direction, téléphoniste, préposé.e accueil, secrétaire, comptable, commis, préposé.e crémation, opérateur-machiniste, responsable service clientèle, etc.
Cynthia FLEURY (2021). « Repenser le soin ». Souligné de LDA.
https://www.franceculture.fr/emissions/tracts-le-podcast/cynthia-fleury. 14.10.2021
TROMPETTE, Pascale (2009). « Les conseillers funéraires : du tact civil aux tactiques commerciales », in DEMAZIÈRE, Didier, et al., Sociologie des groupes professionnels, Paris, La Découverte, Recherches, pp. 299-309, p. 308. Soulignés de LDA. Accès au site Cairn par les banques de données des bibliothèques.
Voir : THOMAS, Louis-Vincent (1985). Rites de mort. Pour la paix des vivants, Paris, Fayard, 296 p.
BERNARD, Julien (2014). « La mobilisation du corps dans le travail des pompes funèbres. Technique, relation et travail émotionnel », L’Esprit du temps_ Champ psy, 1 n° 65, pp. 163- 174, p, 167, 170. https://www.cairn.info/revue-champ-psy-2014-1-page-163.htm.